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 CSI music : progressif

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bolox
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bolox


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MessageSujet: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyLun 29 Sep 2008 - 21:00

Hou bonne mère, ça ne nous rajeunit pas ça Wink

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bop
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyLun 29 Sep 2008 - 21:20

en effet... Sad
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMer 19 Aoû 2009 - 18:13

bolox a écrit:
Hou bonne mère, ça ne nous rajeunit pas ça Wink






Je suis plus que fan de rock progressif et, même si ça ne nous rajeunit pas, force est de constater qu'à cette époque, Genesis, K.C, Jethro Tull savaient pondre des albums de grande qualité.
Pour moi, la décennie musicale 1970 1980 fut incontestablement la plus riche en émotions et.........en harmoniques !!!!!! Cool
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMar 25 Aoû 2009 - 9:32

IZZ "Live at Nearfest"
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Après une introduction très courte (« Swallow Our Pride », apparemment un morceau inédit sur lequel ils travailleraient), le groupe enchaîne avec le morceau titre de leur dernier album en date, le fameux « My River Flows » dans une version survitaminée excellente où les instrumentistes sont extraordinaires (écoutez donc ces soli de synthés ou ces guitares tranchantes sans parler des voix masculines/féminines qui se complètent à merveille) : un pur morceau de bonheur. Mais ce n’était que l’échauffement puisque les « epic » déboulent avec 3 morceaux de plus de 10 minutes à la suite (pfiou, zont pas peur les gars… faut dire qu’ils étaient à un festival prog’, donc forcément acquis à « la cause » !).
C’est « Assurance » qui démarre les hostilités. Ce titre, tiré du premier album du groupe, a été légèrement rallongé. Puis vient « Coming Like Light », sorti du second album. Ce morceau est un festival de joutes instrumentales entre les claviers et les guitares. L’on a même droit à des citations de classiques prog ! Je pense que ce titre résume parfaitement la philosophie de IZZ : tout est permis, du moment que l’on s’éclate ! Tout au long de l’album, je ne le répéterai plus, les sept instrumentistes excellent, chacun dans leur art.
Tom GALGANO est celui dont on retiendra principalement la performance, tenant les claviers de main de maître ainsi que le chant (conjointement avec son frère John, le bassiste ainsi que les choristes Anmarie BYRNES et Laura MEADE - sur un morceau seulement). Paul BREMNER, le guitariste est le second dont on retiendra aisément la prestation tant ses soli sont exceptionnels : il se tire constamment la bourre avec le clavier. John GALGANO, non content d’être un excellent bassiste tient aussi la guitare acoustique et électrique, chante et joue même des claviers sur un morceau ! Enfin, le batteur (ou plutôt les batteurs, car il y en a deux !) sont excellents (Brian CORALIEN et Greg DIMICELI). Je n’ai oublié personne ? Aie ! Les choristes Anmarie BYRNES et Laura MEADE, dont il ne faut pas oublier la prestation chantée, même si plus discrète que les instrumentistes, vu la profusion de sons délivrés par le groupe. On aura tout de même l’occasion de les entendre en lead vocal sur « Where I Belong » et c’est un pur enchantement, qui fait regretter que pas plus de titres ne soient chantés par elles (quelles voix !).
Le dernier long morceau est « Late Night Salvation », qui vient du dernier album. Logiquement, la version de « Where I Belong » est ici nettement plus courte que sur le disque original (« Sliver Of a Sun ») ayant été expurgé de toute la fin « ambiante ». Laura Meade y appose sa voix enchanteresse (pas évident de passer après l’interprétation magistrale qu’en avait faite Danielle ALTIERI sur le premier album). La version de « Star Evil Gnoma-Su » délivré ici est particulièrement génialissime et je pèse mes mots. Ce morceau, entre expérimentation et romantisme échevelé est, à n’en pas douter, un sommet de la discographie du groupe. Enfin, l’album se finit par « Mists of Dalriada » (du second album), vraisemblablement joué en rappel. Ce morceau celtique festif est d’ailleurs parfait pour terminer un concert. Ca devait être un sacré bordel dans la salle ! Il est aussi intéressant de voir que le groupe n’a pas coupé les interventions parlées du groupe (et même du public), qui, même si elles ne sont pas légions, sont caractéristiques d’une formation éminemment sympathique (cf. le guitariste qui s’excuse d’avoir sorti une note !).


Bref, un album, certes live et avec un seul très court inédit mais tout de même extraordinaire en ce sens que la musique du groupe prend véritablement une autre dimension en concert. Il est tout de même dommage qu’un DVD ne sorte pas avec cette prestation car ça devait être véritablement dément à voir. Ceci dit, rien n’est perdu puisque le DVD de l’édition 2005 n’est sorti qu’en 2007, donc, si mes calculs sont bons, à raison d’une sortie par an, l’édition 2008 devrait voir le jour en… 2010 ! Putain, 2 ans (comme dirait l’autre…) ;-)
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyJeu 10 Sep 2009 - 15:56

On l'attendait depuis longtemps ce second album de nos belges de Ken's Novel. Après le superbe "The Guide", sorti en 1999, voici la suite de l'histoire de Ken. Nous nous demandions bien s'il était possible d'égaler la qualité du premier opus. Pour le savoir, plongeons-nous donc dans ce domaine de l'oubli qui, j'en suis sûr maintenant, ne pourra vous laisser indifférent.

Dès le premier chapitre "Sadfield", on se sent pris par l'ambiance qui a fait de "The Guide" un album incontournable du monde du rock progressif de ces dernières années (que ceux qui ne connaissent pas s'en mordent les doigts !). Non seulement le son y est, mais un soin particulier entoure la création tant côté musical que côté textes. Les ambiances sont colorées et les arrangements raffinés. Comme pour le prouver, écoutez "Crowd On Sail" qui réserve bien des surprises tout au long de ces dix minutes. Sans compter que son refrain est incontournable !

Comme si cela ne suffisait pas, "Empress Of The Frozen Sea" est à nouveau une longue pièce d'un peu plus de dix minutes. Le morceau développe différentes facettes allant du rock à la douceur acoustique en passant par des côtés plus jazz-rock du meilleur effet. "Rejected" est un court lien menant au chapitre suivant "Voices" qui nous entraînera bien au-delà des voix. "Wisdom Peak" débute sur une note de basse qui, nous n'en doutons pas, provient du fin fond du domaine de l'oubli. Les nappes de claviers qui viennent ensuite l'accompagner accentueront sa profondeur, la guitare saupoudrant le tout par son solo. La seconde partie offre un petit côté sautillant et chantant bien rafraîchissant. Le ton monte pour une troisième partie plus dramatique.

C'est tout en douceur que "The Hallucinogenic Lake" nous dévoile ses visions extravagantes tout au long d'un titre chargé de couleurs et d'ambiances. Serions-nous proche du but ? Après le très court "Peaceful ?" vient la pièce maîtresse "Domain Of Oblivion" qui s'étale du long de ses seize minutes. Nous voici à la porte du domaine. Ken franchira-t-il la porte ? C'est le dernier acte qui se joue avec ce morceau riche en rebondissements tant sonore que vocal. Pas vraiment ! "Distinctive Signs" termine cet opus de manière magistrale. Il nous caresse par sa douceur entraînante et on se prend à chanter le refrain avec eux.

Comme si tout cela ne suffisait pas, le CD nous offre une superbe pochette et est fourni avec un livret excellemment conçu et contenant les paroles. Chapeau pour le packaging ! L'ensemble de l'histoire, c'est-à-dire les deux albums, est également disponible sur le site internet du groupe.

Si on peut dire que la scène belge regorge de groupes de qualité depuis quelques temps, il est indéniable que Ken's Novel tiennent le haut du pavé avec un certain Venus. Tous deux offrent une musique de haute qualité et d'envergure internationale, chacun dans leur domaine où l'oubli est impossible. Si vous ne connaissez pas encore, il vous faut les découvrir au plus vite et n'oubliez pas d'acheter "The Guide" par la même occasion. Si vous connaissez déjà, je suis sûr que vous allez vous ruer chez votre disquaire. Voilà bien un domaine de l'oubli qui restera marqué dans vos mémoires !




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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyVen 25 Sep 2009 - 18:32

Avant la musique de Locanda Delle Fate, il y a l’aspect extérieur, ou plus précisément la pochette de l’album à observer. Très représentative du courant, elle met en scène une petite fée luciole perdue au beau milieu d’une plage garnie simplement d’un arbre mort et de la pleine lune. L’illustration semble indiquer le caractère lyrique que la musique veut traduire. Et l’on ne s’y trompe pas, elle l’est. Mieux encore, d’un point de vue objectif, Locanda Delle Fate est assurément l’un des groupes de progressif symphonique les plus accessibles du courant. La raison, aussi excellente soit-elle, réside dans cette subtile association de technique et de mélodie, tous deux imbriqués à la voix invraisemblable de Leonardo Sasso qui chante d’une voix rocailleuse, certes, mais qui n’en reste pas moins extraordinaire. Ce qu’il y a de vraiment époustouflant, c’est d’écouter cette voix se complaire au beau milieu de ce climat délicat. Mais soit, revenons-en un peu à la musique…
Cette dernière évolue dans une atmosphère sensible, limite à fleur de peau, et offre donc un voyage des plus mélancoliques. Quoi de plus normal avec des noms pareils ; traduisez par « l’auberge des fées » pour le nom du groupe et par « peut-être que les lucioles ne s’aiment plus » pour le titre de l’album. L’ensemble des pistes s’échafaude autour d’arrangements presque parfaits mêlant un piano classique omniprésent avec l’orchestration classique du rock, flûte traversière, vibraphone, orgue hammond et minimoog. La plupart du temps, ce sont des mélodies savoureuses qui en ressortent, nous faisant vivre une sorte de « nostalgie non vécue » très typique du progressif ultramontain au caractère pastoral. Du côté des influences notables, nous pouvons éventuellement citer Genesis ou bien encore Camel, car l'esprit reste le même ; une technique certaine mais conservée pour permettre à cet univers féerique de ne pas se sentir oppresé.
Parmi les huit pistes très réussies, on retiendra surtout « Forse Le Lucciole Non Si Amano Più » et « Vendesi Saggezza » qui proposent un voyage de premier choix. « Forse Le Lucciole Non Si Amano Più » est une longue pièce de plus de neuf minutes mettant en scène une progression lente mais sûre, et assurant toute la puissance mélodique et technique de Locanda Delle Fate. Par ailleurs, Leonardo Sasso, exemplaire sur cette piste,accompagne on ne peut mieux les divers phrasés qui s’entremêlent toujours de plus belle. Quant à « Vendesi Saggezza », qui est pour information l’un de mes morceaux préférés, préparez-vous à subir simplement et purement un orgasme musical des plus délectables. « Vendesi Saggezza » démarre comme tout bon morceau prog, c’est à dire langoureusement, pour se poursuivre en un panachage de passages aériens et de breaks étourdissants, et enfin arriver à un épilogue à couper le souffle.
Au final, Forse Le Lucciole Non Si Amano Più incarne un délicieux fragment de ce qui s’est fait de mieux en Italie. Même si certains le trouve très loin de l’univers plutôt solennel des grands pionniers ultramontains, Locanda Delle Fate propose une musique grandiose, intimiste, unique, sentimentale et poétique. Incontestablement une œuvre de fond en comble à posséder impérativement.

LOCANDA DELLE FATE "Forse le lucciole.............."



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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMar 29 Sep 2009 - 15:23

LITTLE TRAGEDIES "New Faust" Russie 2004

Formation russe à effectif variable, LITTLE TRAGEDIES est né de la volonté du compositeur et musicien Gennadi ILYIN d'expérimenter de nouvelles formes d'expression musicale. Plus concrètement, l'on pourrait rapprocher son art d'un mélange hybride de rock Progressif Seventies, de jazz-rock fusion et de musiques classiques contemporaines. Le tout à l'aide de claviers analogiques fleurant bon les années soixante-dix, mais surtout avec une personnalité slave indéniable. Voici un fantastique concept-album de rock néo-classique, plein de puissance, de diversité et d'intensité, gorgé de séquences instrumentales fiévreuses et enthousiastes. A connaître absolument ! Celui-ci montre une progression remarquable, avec une inspiration plus éclectique. On pense ainsi, outre EMERSON, LAKE & PALMER et les compositeurs classiques, à PINK FLOYD, GENESIS ou FOCUS, le tout avec le son caractéristique des formations russes. La musique est un alliage brillant de rock, de musique classique et de jazz, avec même quelques traces de heavy-metal dans certaines parties de guitares. Les séquences de claviers affectionnent tout particulièrement les sonorités Seventies. Si le chant est en russe, la musique est majoritairement instrumentale, jouée avec brio et produite avec soin. Un excellent album !

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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyDim 25 Oct 2009 - 21:17

CODICE "Alba y Ocaso" Mexique 1999.


En gestation depuis 8 ans, voici enfin l'album de Codice, qui est en fait un double CD, qui ne dépare pas le catalogue du label.

Commençons par le premier CD qui se distingue par un contraste entre des passages instrumentaux très symphoniques, très emphatiques ou les claviers se livrent à de superbes duels avec les guitares lyrique et d'importantes parties qui donnent à l'ensemble une coloration légèrement plus "pop", plus accessible.

Ce chant espagnol et la fluidité mélodique des passages instrumentaux nous laissent sur une excellente impression: quelques passages de guitare acoustique, quelques plans plus "jazzy" donnent à l'ensemble une couleur très latine qui permet de placer ce premier CD dans la catégorie des bonnes productions sud-américaines symphoniques qui méritent assurément une place dans votre discothèque progressive.

Mais, ce qui rend l'achat de ce disque plus que recommandable est assurément la qualité encore supérieure du second CD, quasiment instrumental, qui offre une superbe suite "Iconos" de plus de 50 minutes. Ici, on a retiré le côté "couleur locale" et le chant pour laisser la place aux longs développements instrumentaux.

On reste certes dans un progressif symphonique de grande ampleur (grandes envolées des claviers, guitare lyrique ou acoustiques), mais plusieurs passages de virtuosité instrumentale font penser à Emerson Lake & Palmer et d'autres plans plus intenses et travaillés lorgnent carrément du côté d'"After Crying".

On ne s'ennuie pas une seconde pendant cette (quasi) heure de musique: breaks incessants, les claviers s'envolent et se déchaînent, les guitares passent du riff rageur à l'acoustique climatique en passant par les solo lyriques et mélodiques (le son Steve Hackett, ça vous dit quelque chose ?).

Un peu de chant religieux et quelques passages vocaux pour compléter le tableau et nous voilà au bout de ce magnifique second CD, qui a lui seul justifie pleinement l'achat de l'objet.

Un mot de la pochette, superbe, oeuvre d'un artiste fortement influencé par Giger et de la quantité limité de CD disponibles (ils sont numérotés, par ailleurs), pour vous conseiller de vous dépêcher de vous procurer ce petit bijou de symphonisme latin.


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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyVen 6 Nov 2009 - 11:18

QUASAR LUX SYMPHONIAE est une formation actuelle faisant montre d'une réelle ambition musicale. "Abraham - One Act Opera" est une oeuvre grandiose qui emprunte sa forme à la fois à l'opéra et à l'oratorio: extraite de la Bible, l'histoire de l'ancêtre des trois religions monothéistes (Christianisme, Judaïsme et Islamisme) développe en de splendides mouvements symphoniques entrecoupés de choeurs majestueux et de parties plus intimes de guitares généralement acoustiques et de claviers. Sur l'heure et demie que dure cet opéra rock, une multitude d'influences transparaissent, du grégorien au baroque en passant par le romantique et le rock Progressif actuel, pour construire une oeuvre époustouflante et grandiose, au souffle épique et à l'ambition gigantesque !!!
Ah, j'oubliais, le son est énorme mention spéciale pour l'assise basse\batterie superbement mixée en avant.!!!



QUASAR LUX SYMPHONIAE "Abraham"

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Marco33
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMer 28 Avr 2010 - 23:05

Camera Astralis (italian symphonic prog)

1998 - I Supplicanti

Un espèce de voyage dans l'univers de l'époque Genesienne Phil Colins.

Voila qui glisse tout seul et avec délisse entre nos feuilles plus très vertes Cool

Cette excellente musique sonne comme la période "Trick of the Tale" & "Wind and Wuthering".

Les chants (tant dans le solo que dans l'harmonie) sont pratiquement identiques à notre Phil Collins et ... en italien SVP. Twisted Evil

Si on aime cette période Genesis on aimera Camera Astralis même 12 ans après cette sortie. Arrow

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bolox
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMer 28 Avr 2010 - 23:55

Jamais entendu parler, je vais essayer ça Wink
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Marco33
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyJeu 29 Avr 2010 - 9:45

LONDON UNDERGROUND (Italie) cup

Voila bien une formation qui surprend car elle donne le sentiment à la première écoute de ne pas trop forcer côté réelle inventivité.

Que non !

On est dans une belle ambiance son des 70's, très agréable et on se laisse porter facilement.
On ne peut s'empêcher de penser à du Sam Apple Pie.

Moi j'aime. Que dis je j'ADORE


Daniele Caputo fut le fondateur du groupe Standarte.
Stefano Gabbani un de ses acolytes est lui aussi dans la bande.
Ensemble et avec l'aide de Gianni Vergelli et Gianluca Gerlini ils ont formé le LONDON UNDERGROUND

Le chemin emprunté par le LONDON UNDERGROUND se divise en deux types de sons distincts en fonction de leurs albums : aux nombres de 2 à l'heure de mise sous presse.

Et lorsque je disais que nous étions proche de Sam Apple Pie je parle aussi de la fin des 60's et du début des 70's.

Le premier album souligne une volonté d'ambiance "fin d'années 60 psych" mélangée avec du "début 70's prog"
Le 2ème album est entièrement typé style progressif du début des 70's.

A l'aveugle, si on ne le sait pas, dés la première écoute on est incapable d'affirmer qu'il s'agit d'un groupe Italien et encore moins d'un groupe contemporain au 21éme siècle !

>> Éponyme de 2000
Record Heaven #RHCD23 - Enregistré en été 1999

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TITRES

Kultual Opus #1
Magda K.
Worst Is Yet To Come
Squadron Leader
Everywhere I Go
Mass Baptizer
Was She Worth My Time
Love Is A
Beautiful Thing
Watcha Gonna Do
London Underground 2000

LineUp

Daniele Caputo : drums, percussion, vocal
Marco Piaggesi : bass, banjo, backing vocal
Gianluca Gerlini : piano, Hammond, organ, Moog, clavinet, Mellotron

Additional musicians:
Claudio Bianchini : pedal steel guitar
Stefano Cudia : guitar
Gianni Corongiu : guitar
Sergio Taglioni : string arrangement

==============================


>> Through A Glass Darkly de 2003
Chez Musea

CSI music : progressif Lu_thr10

TITRES

End of the race
Travelling lady
Sermonette
The days of Man
Analonihum
Beautiful child
Through a glass darkly
Crytical purple browne orcharde
Can't find the reason
Everything is coming to an end
Another rude awakening

LineUp

Daniele Caputo : Drums, Vocals
Stefano Gabbani : Bass
Gianni Vergelli : Guitar
Gianluca Gerlini : Keyboards


Il faut ici saluer l'Italie car LONDON UNDERGROUND a sorti un des plus inattendu et, en un sens le plus original album de rock progressif de fin 2003.
Voici surtout avec ce CD ce qui confirme mes propos précédents.
Pour une oreille extrêmement avertie (donc plus la mienne) la technologie moderne trahi une modernité qui sans elle vous ferez jurer presque que cet album a été enregistré à la fin des 60's et début 70's.
Cet album est un MUST et miracle de chez miracle vous pouvez l'écouter sur Deezer petits veinards
champ

http://www.deezer.com/listen-279753
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyDim 2 Mai 2010 - 11:16

Ken's Novel (Belgique)

- 2004 - Domain Of Oblivion
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyMer 5 Mai 2010 - 12:39

Voici un cadeau exclusif à faire partager, ce genre d'initiatives généreuses étant bien rares de la part des musiciens reconnus ;

Colin Edwin, fameux bassiste de Porcupine Tree, offre en téléchargement gratuit (si, si !) pas moins de 5 morceaux de son crû !

Ce sont des "Outakes" de son premier album solo Third Vessel, à savoir des morceaux composés pour ce disque mais qui n'y ont finalement pas été inclus -"pour une raison ou pour une autre", dit-il... Composés, joués, enregistrés et produits par Edwin himself, ils sont non seulement de très bonne facture, mais en plus globalement représentatifs de la démarche "électro-prog'-ambient" du musicien en solo... Et puis, quand un bassiste de ce niveau nous fait de tels cadeaux, ça mérite une écoute attentive et enthousiaste ! Ouéééééééé, et une Hola pour Colin Edwin, une !!! :-) Voici le lien pour télécharger ces morceaux (soit groupés, soit un par un : cliquer sur "Download album" pour l'ensemble, ou sur "download" à droite de chaque morceau (en bleu)... Bonnes z'écoutes à tous ! (et n'hésitez pas à remercier Colin sur son blog et/ou MySpace !)... Smile)

http://www.msplinks.com/MDFodHRwOi8vbXVzaWMudGhpcmR2ZXNzZWwuY29t

Pour quelques mots de présentation de chaque morceau, par Colin lui-même, rdv ici : http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&friendId=330997011&blogId=533050042
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyJeu 27 Mai 2010 - 13:39

BACAMARTE Brésil

1983 - Depois Do Fim

superbe, riche, symphonique, débridé, décomplexé ... une formation à connaitre !
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyDim 27 Juin 2010 - 10:30

Je suis en train de redécouvrir mon groupe préféré de progressif, SAGA : pour ceux qui ne connaissent pas, jetez un oeil à cet album http://www.deezer.com/music/saga/heads-or-tales-297329?provider=website. Du tout bon !
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MessageSujet: Re: CSI music : progressif   CSI music : progressif EmptyJeu 8 Juil 2010 - 9:52

Aujourd'hui voyage en terre Hollandaise

Coda - 1986 - Sounds Of Passion

Coda - 1996 - What A Symphony

Alquin - 1972 - Marks

Ambeon - 2001 - Fate of a dreamer

Ayreon - 1995 - The Final Experiment

Ayreon - 1996 - Actual Fantasy

Focus - 1972 - The Sky Will Fall On London Tonight (bootleg)

Finch - 1976 - Beyond expression

Et ça ira pour aujourd'hui @
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